Une cour d’appel de La Nouvelle-Orléans s’est prononcée en faveur du rétablissement de restrictions d’accès à la pilule abortive. Cet arrêt, s’il était confirmé par la Cour suprême qui aura le dernier mot, se traduirait par un retour à une limite de sept semaines de grossesse au lieu de dix, l’interdiction de l’envoi de la pilule abortive par la poste, et le rétablissement de l’obligation de prescription exclusivement par un médecin. La décision fait suite à une audience tenue en mai devant cette cour sur l’accès à la mifépristone (RU 486) qui, combinée à un autre cachet, a été utilisée par 5,6 millions de femmes depuis son agrément par l’Agence américaine du médicament en 2000. Si cette décision était confirmée, cela marquerait un nouveau retour en arrière pour la cause des femmes.
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