Le Parlement du Premier ministre Victor Orban a adopté une résolution qui réaffirme que la Hongrie n’est pas « un pays d’immigration ». Le même jour, il a voté une loi qui permet de faire venir des travailleurs des Balkans, d’Indonésie ou du Kenya par le biais d’agences d’intérim qui proposent aux patrons hongrois les services de ces travailleurs flexibles à souhait et sous-payés.
Voilà comment l’extrême droite livre de la main-d’œuvre pas chère au patronat.
- Brèves |
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