De passage à Vendôme, dans le Loir-et-Cher, le président de la République a été de nouveau accompagné par un concert de casseroles à son arrivée dans une maison de santé. Pourtant le préfet local avait pris des dispositions drastiques. Outre un périmètre de sécurité et l’interdiction des cortèges et des rassemblements revendicatifs aux abords de l’établissement, l’arrêté de la préfecture prévoyait une « interdiction des dispositifs sonores amplificateurs de son », c’est-à-dire, en français courant, des casseroles. Cet arrêté avait finalement été suspendu par la justice. Mais ce nouveau gag, après ceux identiques qui s’étaient produits en Alsace et dans l’Hérault, prouve que si le ridicule tuait, le corps préfectoral serait décimé.
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