Une soixantaine de travailleurs d’Orano (ex-Areva) qui profitaient de leur préretraite se retrouvent pris au piège de la réforme. Leur âge de départ est en effet décalé de plusieurs mois. Et les patrons, qui engrangent chaque année plusieurs dizaines de millions d’euros de bénéfices, veulent leur faire payer cette différence d’une manière ou d’une autre : congé sans solde, lissage de leur rémunération jusqu’à la fin de leur contrat ou, plus simplement, retour au travail ! Accroitre l’exploitation capitaliste est le sens profond de cette réforme, difficile d’en avoir une meilleure illustration.
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