Clarisse Agbégnénou, quintuple championne olympique de judo, s’est vue privée de son entraîneur fédéral par la Fédération française de judo. Motif de cette sanction : en retour de congé de maternité elle s’est présentée sur le tatami avec un kimono de la marque Mizuno, qu’elle utilise depuis cinq ans. Or, pendant son absence, la Fédération avait changé de sponsor pour choisir Adidas. « Mettre le kimono d’un autre équipementier, ça nous met en porte-à-faux, je trouve que ce n’est pas respecter l’équipe de France », a déclaré le président de la Fédération, Stéphane Nomis. Mais handicaper une championne avant une compétition tout en rampant devant un sponsor, est-ce vraiment la respecter ?
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