Poussée par les autorités, la plus grande banque du pays, l’Union de banques suisses (UBS), a accepté d’acheter sa rivale Crédit suisse, en grande difficulté, pour 1,9 milliard d’euros. Le but de l’opération était d’empêcher un mouvement de panique sur les marchés financiers déjà mis à mal par la faillite de plusieurs banques américaines. Pour le président de la Confédération helvétique, Alain Berset, qui avait déjà déboursé 46 milliards d’euros pour soutenir le Crédit suisse, c’était le meilleur moyen de « rétablir la confiance » par une solution « non seulement décisive pour la Suisse […], mais pour la stabilité de l’ensemble du système financier mondial ». Pour l’instant la rustine semble tenir. Mais pour combien de temps ?
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Utah : on trouve toujours plus bigot que soi
Sur décision d’un juge de l’Utah, un État fief de la secte des mormons, également connue sous le nom de l’Église de Jésus-Christ des saints…