Le parquet national financier s’apprête à ouvrir une enquête sur les finances de la Fédération française de tennis qui, avec un bas de laine estimé à 400 millions d’euros, est une des plus riches parmi ses homologues du sport professionnel. On évoque notamment des transactions plus ou moins louches, un commerce opaque des billets d’entrée à Roland-Garros, du trafic d’influence, des escroqueries, etc. Mais, à cette occasion, on a appris que l’actuelle ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, longtemps directrice générale de la Fédération, et proche de son président, Gilles Moretton, empochait pour ce faire un modeste salaire de 35 000 euros brut par mois. En tout bien tout honneur, bien entendu…
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