Le gouvernement helvétique a annoncé débloquer 50 milliards de dollars (46 milliards d’euros) pour venir en aide au Crédit suisse, première banque en Europe à trembler sous le choc des faillites bancaires aux États-Unis. La seconde banque suisse a développé au cours des années une éthique assez particulière puisqu’elle a eu maille à partir avec la justice pour des questions de blanchiment, de dissimulation de la fortune de dictateurs, de trafic de cocaïne, de liens avec les mafias japonaises (les yakuzas), de corruption en Afrique, d’espionnage et d’escroquerie. En son temps Bertolt Brecht avait illustré dans sa pièce La résistible ascension d’Arturo Ui l’interaction entre les milieux d’affaires, de la politique et ceux du gangstérisme. Le Crédit suisse en donne une bonne illustration.
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