Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, s’est insurgé contre la perspective d’un blocage de l’aide financière à l’Autorité palestinienne, demandé par son collègue hongrois Olivér Várhelyi, commissaire européen en charge de la politique de voisinage. Ce dernier justifie sa demande en mettant en avant « des contenus jugés haineux et antisémites dans les manuels scolaires palestiniens ». Son opposition à l’antisémitisme et au racisme serait plus crédible si, dans le même temps, il avait demandé des sanctions économiques et financières contre Israël du fait des contenus haineux et arabophobes de ses manuels scolaires. Mais bizarrement il n’y a pas pensé.
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